Brève histoire de la création de l’Ecole de Biodécodage

Bonjour,

Quand tout cela a commencé, je n’avais pas idée des suites de l’histoire … mais vraiment pas …

Mais quand cela a-t- il commencé en fait ?

  • Au printemps 1991 ? Lorsque je rencontre pour la première fois le Dr Hamer à Chambéry ? Non
  • En 1992 ? Lorsque je propose des stages à Chambéry, pour les élèves qui ne sont pas dans le médical ? Non plus
  • En 1993 ? Lorsque j’anime ma 1ère conférence à Aix ? Je ne crois pas
  • Alors au printemps 1994, lorsqu’à Marseille, je propose à 12 élèves, 3 jours de présentation des lois biologiques énoncées par le Dr Hamer ? Peut être …

L’année suivante, ces 3 jours en deviennent 6, pour être 3 années aujourd’hui.

Car l’école n’a jamais cessé d’évoluer, de se transformer et s’enrichir de nouvelles idées pratiques. Depuis quelques années, l’orientation est faite sur le changement des conflits structurant et le pré-conflit : l’identification.

 

Le Décodage ne vit pas dans les musées ou les libraires, mais dans la rue de nos lieux de vie

 

La formation, en son début, était théorique. Une information devrais-je écrire, pour devenir ensuite pratique. Car c’est avec l’arrivée des protocoles, que tout change et que véritablement, le décodage biologique voit le jour en temps que concept indépendant et distinct des propositions de Hamer, Sabbah, Athias et consort.

 

Mais malheureusement, dans l’esprit de beaucoup (de trop), la confusion règne entre le décodage biologique et les noms précédemment cités, la biologie totale du Dr Sabbah, la médecine nouvelle du Dr Hamer, alors qu’il y a bien plus de différences que de points communs entre nous.

 

Les différences peuvent se résumer dans le terme professionnalisme :

  • Le stagiaire apprend le Biodécodage par la pratique et non par la théorie, par l’expérience personnelle et non par le mental
  • Par voie de conséquence, la thérapie que recevra le patient sera pratique, par des protocoles propres au Biodécodage
  • Le Biodécodage ne rejette pas la médecine officielle, en rien, mais lui est complémentaire, et se veut travailler en équipe. Pas de diagnostic médical, ni de prescription faite par le thérapeute en Biodécodage ou psycho-bio-thérapeute. Si le patient refuse de voir un médecin, le psycho-bio-thérapeute ne le recevra pas
  • La formation n’est pas une thérapie personnelle même si un travail évident s’y opère. C’est un lieu pédagogique
  • Le candidat à la validation de psycho-bio-thérapeute doit faire un travail thérapeutique, et être accompagné régulièrement en supervision
  • L’élève s’engage en signant un code de déontologie

 

Les premiers protocoles furent directement inspirés par la PNL (comme la ligne de temps et les sous-modalités), puis deviennent progressivement spécifiques du biodécodage. J’en ai inventé la plupart, certains furent crées par Philippe Lévy et moi-même entre l’année 2000 et 2008.

Grace à Philippe, l’école s’est structurée d’avantage, puisque entre ces deux dates nous co-animions la plupart des séminaires ensemble. De son côté, il dirigea une école active en biodécodage à Lyon et Salomon Sellam, à Montpellier. Il nous arriva de réunir nos trois écoles lors de stages d’été. Puis, Jean-Guillaume Salles crée son école de décodage dans le Vercors.

Dans ces années-là, les réunions sont chaleureuses et enrichissantes entre différents profs et chercheurs en décodage tels que Marie Françoise N, Patrick Obissier, Jean Michel et Ida Dalbiez Gérard Saksik, Jean-Jacques Lagardet, P. J. Thomas Lamotte, Pierre Julien, Pierre Barbey, pour n’en citer que quelques uns des plus créatifs. Deux symposiums furent organisés avec la plupart de ces intervenants. Les premiers livres en décodage apparaissent sous les plumes de Salomon Sellam, P. J. Thomas Lamotte, P. Obissier et moi-même à partir de 1999. Une revue essentiellement animée par S. Sellam, P. Lévy et moi-même : Cause et sens, présenta durant quelques années des dossiers en décodage.

En 2000

  • J’écris mon premier livre : mon corps pour me guérir,
  • Je crée des concepts radicalement différents de la médecine nouvelle germanique, et s’y opposant :
    • la gomme et l’encrier,
    • les prédicats biologiques,
    • les conflits verrouillant
    • le portail d’entrée en biologie,
  • Je rencontre, pour une dernière fois, le Dr Hamer en Espagne et m’éloigne définitivement de ses prises de position.

 

L’école s’internationalise, d’abord au Québec en 2004 puis Espagne en 2008.

Les premières jalousies apparaissent. Des élèves suisses, des organisateurs et organisatrices (Espagne, Barcelone, Paraguay, Argentine, Pérou, …) s’autoproclament enseignants et directeur d’école en décodage. Certains élèves, ayant déposé à leur nom à l’INPI les termes : décodage biologique originel, bio-décodage, décodage biologique, m’attaquent parfois en justice pour usage du terme « Décodage biologique ». C’est la raison pour laquelle je parle maintenant de « Biodécodage ».

 

Plusieurs époques se sont succédées, pas après pas :

Seul :

  • Thérapeute, quelques patients
  • 1994 : création des cours théoriques orientés sur le sens et l’origine des maladies : les bases du décodage
  • Rencontre avec Marc Fréchet
  • 1998 : arrivée de protocoles pratiques : boulette, ligne de temps, …
  • Nouveaux séminaires : PNL, , Croyances, troubles du comportement, intuition et créativité,

 

Entre amis :

  • Quelques thérapeutes, d’avantage de patient aidés
  • Partage intense et amical entre thérapeutes de terrain : Gérard Saksik, Jean Jacques Lagardet, Philippe Lévy, Pierre Barbey, etc.
  • 2 symposiums

 

Une école, un début de structure :

  • Formation complète de thérapeutes
  • Invention des cours de conflictologie par P. Lévy et moi-même, ainsi que des stages progressifs pour accompagner un élève sans qualification à la pratique du bio décodage
  • Nouveaux thèmes de stage co-animés par Francesco Basile et moi-même : hypnose, thérapie de couple et thérapie pour enfants
  • 1999 : j’écris de nouveaux livres
  • Invention des 3 niveaux de formation avec validations de trois titres de compétences : conseiller, accompagnateur, thérapeute,
  • Mise en ligne de mon site : www.biodecodage.com

 

Formation de formateurs en décodage, plus de thérapeutes en international, toujours plus de patient aidés,

  • L’internationalisation se poursuit au Canada, Suisse et Espagne,
  • 12 de mes livres traduits en espagnol, 1 en anglais, en polonais, 4 en italien, 2 en russe.
  • Nouveaux professeurs en France : Philippe, Marie-Jo, Jean-Guillaume, Pierre-Olivier, Béatrice,
  • Interviews sur les radios, à la TV russe et au Sénat français,
  • Grâce à la passion d’organisateurs locaux, l’enseignement est proposé dans de nouveaux pays : Russie, Lituanie, Kirghizstan, Colombie, Mexique, Costa Rica, Chili, Argentine, Pérou, USA, Puerto Rico, République Dominicaine, Uruguay, Équateur, Venezuela,
  • Canaux Facebook, Youtube
  • Nouvelles villes : 3 aux USA, 4 en Colombie, 2 au Mexique, 5 en France, Ile de la Réunion,
  • 22ème livre : « le monde extérieur n’existe pas »

La réalité de l’école est :

  • Evolutive, en changement et remise en question permanente (nouveaux concepts)
  • En accord avec la médecine officielle et les réalités locales de chaque pays,
  • Exigeante car responsable indirectement de la conscience émotionnelle de processus d’amélioration de nombreux patients,
  • Une équipe ouverte.

Le décodage biologique pratique va bien ; il diffuse des hypothèses complémentaires à l’allopathie, pratiques et respectueuses. Sa finalité, depuis son commencement et autant qu’il durera, est et sera : l’aide à la santé retrouvée par les malades.

Tout malade est un bien portant qui s’ignore.

Le décodage biologique pratique est la poésie de la médecine.

Christian Flèche